« … j’écris pour ceux qui savent à quoi s’en tenir, regardent passer le fleuve et parlent avec les nuages, sans souci de ce qu’en a dit Baudelaire, pour celui qui parle avec les arbres, qui les respecte, qui les aime, parce qu’ils se taisent avec tant d’éloquence »
merci pour ces jolies météorites poétiques…