C’est un rêve de plumes
que les lignes allument.
Le temps passe sans rides,
le temps passe mille lignes
de ce livre que tu as laissé
ouvert
à mes yeux vers.
Le tiroir est fermé ?
je vogue ma voile
à la toile des mots,
un refrain aux milles mains.
Nous avons vécu
sans nous vivre,
humains.
A la chair de tes plumes,
je suis restée libre.
Déroule le parchemin
des mots purs qui durent
sans cesser de grandir,
empreinte des dires.
Merci Bastien pour ton commentaire; j’irai faire un tour sur ton blog. AM