Ils ne comptent pas leurs heures,
ils ne comptent pas leur cœur,
ils ne comptent pas leur corps.
Les traits tirés de longues nuits,
ils donnent leur vie en souriant,
ils donnent leur vie en s’oubliant.
Nous les guettons,
nous les attendons.
Etre est leur seule reconnaissance.
Pourtant, ils soulagent tant de douleurs,
à peine entrevus.
Ouvrons grandes nos fenêtres.
Portons les,
Aidons les.
Ils sont les représentants de l’humanité;
Ils sont tellement humains !