Les masques tombent, la liberté retrouvée offre ses chauds rayons,
Une vague de bonheur submerge,
allongés sur les plages.
Mortel pressentiment de revivre une vie de tumulte comme avant.
Moine d’un Moyen-Age, je choisis de rester confiné dans mes jours anciens, cueillir un chant d’oiseau sous mes chênes, recevoir pour l’écrire une chandelle de lune éclairant mes nuits, respirer, ressentir les choses,
A chacun son rythme, à devoir quitter celui qui peut nous perdre,
un virus nous en a parlé, la planète se meurt !
Trop nombreux sur Terre, à ne savoir écouter des mots universels,
il faut les dire, les crier et le vivre !
Le malade a bougé, les fils se débranchent et les alarmes sonnent, personne ne les entend.