Le vent du Nord laboure les coteaux
à faire frémir les rêves d’enfant
Un frisson secoue l’échine des hameaux
La voûte des toits meurt derrière les haies
Mugissements, forêt musicienne
A Brunehaut, le portail du Château se met à chanter,
Allume ton feu dans ma cheminée,
Oublie les chemins morts d’insignifiance.