Mes mains touchent des lueurs lointaines,
Eux s’accrochent aux gaietés par la frivolité des mots,
leurs vies effacées comment auraient-ils pu en changer
conduisent les mêmes attitudes,
je m’assieds devant un mazagran à la terrasse d’un café,
le brouhaha, des gens je sens que tout bouge
me donnent le vertige, où, l’ouverture à respirer la solitude ?
C’est dans leurs univers que les poètes ne meurent jamais.