Gravir mon échelle à toucher l’infini, pur, inviolé
sans quiconque déranger, sans fièvres,
écoutant l’incommensurable Wilhelm Kempff au piano,
la symphonie N°23 – le deuxième mouvement,
Andante con moto,
calme, calme, dominant tout, à mille lieues de tout, puis tout bascule,
la vie,