Les horloges de Dali sont crêpes pétrifiées,
Une seconde couve l’éternité,
Ose tes yeux, ses reflets mauves à les offrir,
ton pas fertile à semer l’éveil,
nulle part demain n’est écrit,
Le tic-tac dansera de ces vieux au coin du feu immobiles,
Réveils, montres, clochers, comtoises et toi, réveillez-vous !