Tu feras mille rêves.
Tous ces rêves
Te regarderont avec dédain
Ou ils ne viendront que colorer
Mais de couleurs ternes
Ton quotidien.
Un seul
Celui de petits yeux pétillants
D’un enfant
Qui rit aux éclats
Viendra égayer le silence
D’une nuit qui commence
D’une nuit sans fin.
(Bakou, à une dame qui s’occupe d’enfants malades)