Il n’y a ni dimanche ni jour férié
dans la rue des éléphants.
Les vieux portails ferrent et grincent
leur colère hurle vent,
claquent coup sec grandiloquent;
les 4 roues vont et viennent tout le jour durant,
fracassent leurs portières sans délicatesse;
les tronçonneuses exercent leur voix rauque,
laissant les hommes de bois
des outils qu’ils jettent, reflètent
encombrent échos résonnent le sol si près.
Il n’y a pas de répit
dans la rue des éléphants.
Le vent chuchote et radote ses fables
attable bien au-dessus des lois et des toits
ses feuilles d’écueils.
Il affiche son mépris sans permis
dans la rue de tous les oui
et me toise lorsqu’il me croise.
Dans la rue des éléphants,
seuls les oiseaux ont revêtu leurs habits
d’un peu d’eau.
C’est le soir qu’ils orchestrent le silence
d’une lune en sommeil.
J aime….excellent
Bonne soirée À.M
J L A
Merci de ta présence à me lire; c’est vraiment sympa !
Les belles personnes ne s’oublient pas.
respectueusement.
JLA
J’aime la rue des éléphants, on y fait un pas de plus en poésie.
Je me demandais dans quelle rue tu étais passé JP ? A bientôt de te lire enfin !
C’est terrible de te dire que je n’ai plus rien à écrire.