Décrète
ces jours de paix
sur le calendrier
au prénom de l’oiseau.
Que le temps s’arrête,
Colombe,
aux ailes blanches;
Je ferai le deuil
des mots à couper au couteau.
Le monde est si beau
des rondes oubliées
et nos mains enlacées.
L’histoire n’est pas tracée;
– Demain est à inventer -.
Je veux glisser au fil de l’eau
sous son corps d’étoiles,
la lune penchée.
Il y a tant de beauté froissée
sous son ciel de larmes,
la terre avortée.
Au silence des feuillages,
la vérité est une ombre
qu’il faut épeler.
encore une fois, superbe,jp
Je te souris, merci !