Le temps passe et rien ne se passe
Ceci n’est pas une poésie
Après les cérémonies du Jour j
Les marchands d’armes sourient
On ne compte plus les larmes
La Terre est pleine comme une Coupe
Du Monde
Et les marchands de foot, eux aussi, comptent leurs liasses.
Ah ! Les hommes, les hommes…