Parfois les images chavirent,
les larmes sont la rivière d’un cœur,
la plainte du vent, d’un froid linceul habille l’absence,
brume, méandre opaque de l’ennui,
forêt, parfum de mousse, de fougère et de bois mort,
j’ai oublié mon passé tant il revient chaque jour,
où es-tu ?
Souviens-toi du temps lorsque j’étais en fleurs.
Que c’est beau !